Il pleut toujours
Des larmes
Du temps qui rassure
Doux murmure dans la pénombre. A cet instant la lumière m’aveuglerait. Me blesserait.
Souris, dans le noir, dans le vide présupposé
Langueur. Lenteur.
Je suis une éponge trempée dans les limbes cotonneuses
28 février 2007
22 février 2007
Lobotomie de pluie
Il pleut
Il goutte sans doute plus qu’il n’en faut
Il pleut
De la potion magique
Pratique
Cette eau exauce les vœux
Ruisselle du vrai au faux
Pluie, je ne boirai pas de ton eau !
Monsieur le chaman
Enchanteur, toi qui pourris
Cesse ta transe, ta danse de pluie
Les poussières t’obstruent la peau
Veux-tu de mon trépan ?
Il goutte sans doute plus qu’il n’en faut
Il pleut
De la potion magique
Pratique
Cette eau exauce les vœux
Ruisselle du vrai au faux
Pluie, je ne boirai pas de ton eau !
Monsieur le chaman
Enchanteur, toi qui pourris
Cesse ta transe, ta danse de pluie
Les poussières t’obstruent la peau
Veux-tu de mon trépan ?
20 février 2007
18 février 2007
Ma transition : était-ce un rêve ?
Le lien qui m’attachait au monde était là, mais invisible. Et je papillonnais.
Me suis arrêtée sous la pression délicate.
Soudain, jaillissant de nulle part, un torrent d’harmonies virevoltant dans ma tête…jusqu’au ciel ! Comme la lumière qui éclaire le réveil et les rêves d’un jour nouveau. Des battements d’ailes immaculées s’élèvent avec ma joie. Synchronisation parfaite dans les envolées.
Puis tout a repris son cours.
Je suis peut-être folle . Si seulement je pouvais l’être plus souvent et voir des licornes !
Me suis arrêtée sous la pression délicate.
Soudain, jaillissant de nulle part, un torrent d’harmonies virevoltant dans ma tête…jusqu’au ciel ! Comme la lumière qui éclaire le réveil et les rêves d’un jour nouveau. Des battements d’ailes immaculées s’élèvent avec ma joie. Synchronisation parfaite dans les envolées.
Puis tout a repris son cours.
Je suis peut-être folle . Si seulement je pouvais l’être plus souvent et voir des licornes !
9 février 2007
Tu prends de l’élan
Espères-tu t’envoler les yeux baissés ?
Semer au vent
Ton cœur blessé
Ce qu’il en reste du bout des doigts
Les pieds qui traînent
Dans la boue, la poussière des beaux jours
T’enchaîne comme une ancre en pleine mer
Envole-toi, s’il te plait, n’attends pas les beaux jours
Ou ils te couperont les ailes avec leurs pointes amères
Espères-tu t’envoler les yeux baissés ?
Semer au vent
Ton cœur blessé
Ce qu’il en reste du bout des doigts
Les pieds qui traînent
Dans la boue, la poussière des beaux jours
T’enchaîne comme une ancre en pleine mer
Envole-toi, s’il te plait, n’attends pas les beaux jours
Ou ils te couperont les ailes avec leurs pointes amères
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