Les oriflammes fièrement dressés s'inclinent un à un tandis que la lumière disparait
Car dans le noir tout semble plus beau
Seule reste la chair, la viande saignante , titubante et nue sur les draps de soie
Et moi flottant comme un Pavillon
devant la merveilleuse intensité des mers psychédéliques
Que rien ne veut troubler
Quel est donc ce vin, cette absinthe au parfum capiteux
Qui m'enivre doucement ?
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