dans le paradis tropical où les spectres se croisent, se ressemblent et simulent
Seule
à se laisser aller
à se laisser bercer par la musique, toujours !
à étouffer dans une maison de poupée
trop petite pour les géants et leur gémellité
Attendre
Avoir des coups de soleil, des brûlures-tortures
Des rêves qui éclatent
Dans la réjouissance des vacances
28 décembre 2006
11 décembre 2006
29 novembre 2006
Schizophrénie céleste
« Le galop soudain des étoiles
N’étant que ce qui deviendra
Se mêle au hennissement mâle
Des centaures dans leurs haras »
Apollinaire, Le Brasier
Intermittences
Dans l’air estival
Rougeâtre et suffocant
Des clameurs résonnent encore dans le ciel incendié
Les poussières s’évaporent
Désintégrées en mille soleils
éphémères et provocants
Elles arborent les parures des grands soirs
Pour les fastes grandiloquents
Poussières au firmament
Surgissant de nulle part
Ou du cœur amoureux des étoiles qui s’étiolent
Ti lamp ti lamp…
27 novembre 2006
24 novembre 2006
The invisible ladder, II
Si j’osais
Te découvrir
Nous fondre ensemble
Vous parcourir
Toi et tes accents familiers
L’un et l’autre.
Doucement, juste pour te faire comprendre
que c’est toi que je veux !
Dans la lente ascension initiatique
TO-TA-LE-MENT platonique
Délicieusement
En profondeur
Et en vertiges
Te découvrir
Nous fondre ensemble
Vous parcourir
Toi et tes accents familiers
L’un et l’autre.
Doucement, juste pour te faire comprendre
que c’est toi que je veux !
Dans la lente ascension initiatique
TO-TA-LE-MENT platonique
Délicieusement
En profondeur
Et en vertiges
Aliénation creuse
Toujours
Ca dégouline : ici, là, autour
Mais pas à l’intérieur
Ca suinte dans les cœurs
Et les yeux perdus
Noyés dans le Stalag vendu au dépit insipide
Les voilà qui arrivent, les armées larvaires. Elles se traînent en faisant semblant d’être heureuses. Mais au fond, elles savent bien qu’elles sont seules, ou presque. Et vides.
Je voudrais replonger dans le désordre et les rires !
Toujours
Ca dégouline : ici, là, autour
Mais pas à l’intérieur
Ca suinte dans les cœurs
Et les yeux perdus
Noyés dans le Stalag vendu au dépit insipide
Les voilà qui arrivent, les armées larvaires. Elles se traînent en faisant semblant d’être heureuses. Mais au fond, elles savent bien qu’elles sont seules, ou presque. Et vides.
Je voudrais replonger dans le désordre et les rires !
22 novembre 2006
Introduction
Là où dorment les heures…
Les étoiles filent
A tout rompre, fières automobiles
Nucléaires dans le désert des « BING ! »
Et des « BANG ! »
Qui éclairent l’univers exsangue de trop de poussière stellaire
Et de Lumière
Détonations...
Là où dorment les heures…
Le temps se fige comme pour mieux apercevoir
Les astres callipyges
Repus de leurs orgies décadentes d’espoir
Ivres de bonheur
Révélations...
La où dorment les heures…
Die Eingebung surgit du fond des trous noirs
21 novembre 2006
Avant-propos
J’ai beau me répéter que ma démarche est totalement égocentrique et suffisante, l’envie de continuer à publier ce que j’écris persiste. A chacun ses contradictions.
Je n’y peux rien, je ne choisis pas, j’écris. Point.
C’est l’écriture qui décide quand elle est disposée à me laisser errer entre les lignes. Souvent l’inspiration s’en va au loin et m'abandonne pendant un moment. Mais jusqu’à maintenant, elle est toujours revenue pour me souffler les mots…
Je n’y peux rien, je ne choisis pas, j’écris. Point.
C’est l’écriture qui décide quand elle est disposée à me laisser errer entre les lignes. Souvent l’inspiration s’en va au loin et m'abandonne pendant un moment. Mais jusqu’à maintenant, elle est toujours revenue pour me souffler les mots…
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