« Le galop soudain des étoiles
N’étant que ce qui deviendra
Se mêle au hennissement mâle
Des centaures dans leurs haras »
Apollinaire, Le Brasier
Intermittences
Dans l’air estival
Rougeâtre et suffocant
Des clameurs résonnent encore dans le ciel incendié
Les poussières s’évaporent
Désintégrées en mille soleils
éphémères et provocants
Elles arborent les parures des grands soirs
Pour les fastes grandiloquents
Poussières au firmament
Surgissant de nulle part
Ou du cœur amoureux des étoiles qui s’étiolent
Ti lamp ti lamp…
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