Aliénation creuse
Toujours
Ca dégouline : ici, là, autour
Mais pas à l’intérieur
Ca suinte dans les cœurs
Et les yeux perdus
Noyés dans le Stalag vendu au dépit insipide
Les voilà qui arrivent, les armées larvaires. Elles se traînent en faisant semblant d’être heureuses. Mais au fond, elles savent bien qu’elles sont seules, ou presque. Et vides.
Je voudrais replonger dans le désordre et les rires !
24 novembre 2006
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