Les étoiles tombent une à une. Le rideau noir et froid enveloppe tout. On ne dansera plus, on ne rira plus. Ou plus comme avant. Quand le ciel brillait . Quand la lune n'avait pas encore revêtu cette robe terne.
La nuit fait même peur au rossignol. C'est la fin.
Quelque part, tout en bas, un homme solitaire, une guitare à la main, entame une dernière complainte :
"Love is not a victory march
It's a cold, it's a broken hallelujah"
Il sait que demain tout sera mort. Les aigles fiers et les grands saules dépérissent déjà.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire