9 janvier 2009

Deux petites filles sur le sable
Que le ciel gratifie
d'un sourire affable


Deux petites filles traversent la ville
Elles courent, elles courent !
Pieds nus sur le goudron
Sans savoir où aller, sans suivre aucun fil
Elles courent, elles courent
On dirait qu'elles tournent en rond


Elles sourient pourtant à ce ciel moqueur
Pas de revanche ni de rancœur :
c'est la pluie d'été
Et la liberté !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

:)

Il est adorable ce poème. Ca me fait plaisir de passer du temps avec toi; vraiment. C'est un véritable bonheur. Et même sous la pluie... dieu que ça fait du bien.
Merci Marion.